L'occupant du casier d'armement situé à la jonction des deux résidences, monsieur Laurent TARANNO est un marginal.

Ormis les nuisances visuelles de sa terrasse située sur l'espace publique, les voisins doivent supporter les odeurs de canabis, les odeurs d'urine des "invités" qui se soulagent dans les arbustes, les vociférations de personnes dans un état second, les violences verbales et intimidations quotidienne.

Les syndicats de copropriétaires des deux résidences, demandent que soit démontée la haie de bambou située sur le domaine publique et qui crée un abri à leurs libations, et que les services de police municipale, et de gendarmerie, reçoivent mission d'empêcher cette situation par tous les moyens légaux.