Madame, Monsieur, 

Dès le début de l’épidémie de coronavirus, il est apparu évident que les patients les plus carencés en vitamine D étaient ceux qui risquaient le plus de mourir. (1) 

Or 80% des patients Covid-19 sont carencés en vitamine D ! (2)

Le constat a été fait par les autorités sanitaires italiennes (3), puis britanniques (4) et enfin françaises. (5)

L’Académie de médecine recommande, en effet, à toutes les personnes de plus de 60 ans de prendre 800 à 1000 UI par jour de vitamine D en prévention contre la Covid-19. (5)

Cela représente quelques gouttes de vitamine D quotidiennement. 

Vitamine D : une mesure efficace de prévention !

En soi, cette information n’était pas totalement un scoop. 

Les médecins savent depuis longtemps que la vitamine D renforce l’immunité. (6)

Elle est donc très utile contre le virus, y compris contre la Covid-19.

Il est possible que si les Français de plus de 50 ans avaient tous été supplémentés en vitamine D durant l’hiver 2019, l’hécatombe de mars et avril 2020 n’aurait pas eu lieu. 

Les hôpitaux n’auraient pas été surchargés. 

Les Français auraient bien mieux résisté au Covid 19. 

Conscient du problème, le gouvernement anglais a fait cette recommandation pour l’ensemble de ces citoyens l'hiver d’après. 

Ainsi, des doses gratuites de vitamine D ont été distribuées à plus de 2 millions de Britanniques fragiles à partir de septembre 2020. (4)

Qui s’occupe de la prévention en France ?

En France, personne ne s’occupe réellement de prévention. 

Il existe bien une stratégie nationale de la prévention, mais personne n’est là pour la mettre en œuvre sur le terrain. (7)

Les médecins pratiquent la vaccination, mais n’ont pas le temps de suivre les habitudes alimentaires et le mode de vie des patients. 

Qui aurait pu tirer la sonnette d’alarme pour la vitamine D ?

Qui aurait pu assurer un suivi des recommandations de l’Académie de médecine liées à la vitamine D ?

Les naturopathes, si leur métier avait été reconnu !

Un métier qui n’est pas reconnu 

De manière plus générale, la présence de naturopathes aurait permis aux Français d’être mieux préparés contre l’épidémie. 

Non pas pour soigner. 

Seuls les médecins peuvent soigner les malades, quand ils y sont autorisés. 

Les naturopathes, en revanche, aident leurs clients à rester en bonne santé. 

Leur rôle est de nous maintenir en forme. 

Malheureusement, ce métier n’existe pas officiellement.

Il existe des formations diplômantes de qualité. Mais elles ne sont pas reconnues officiellement. (8,9)

Lutter contre les causes des maladies grâce à la nature 

Les naturopathes aident leurs clients à améliorer leur hygiène de vie. 

Ils utilisent les forces de la nature pour renforcer le terrain des personnes qu’ils aident. (10)

Ainsi, ils cherchent à éliminer les quatre plus grandes causes de maladies qui sont (10) :

1/ la mauvaise alimentation :  ils aident à choisir les produits, à faire les menus, à garder de bonnes habitudes alimentaires. Ils peuvent rappeler par exemple que le risque de développer un cancer diminue de 25% chez les personnes qui mangent bio ! (11)

2/ le manque d’activité physique qui joue sur la santé cardiaque, le diabète et même les capacités cognitives

3/ le stress qui affaiblit le cœur et détruit la santé petit à petit 

4/ la pollution, ennemi invisible, qui réduit les capacités respiratoires, perturbe les hormones et favorise la toxicité du corps 

Le naturopathe, un professionnel de la prévention

Le naturopathe fait un bilan de vitalité. (10) Il ne s’occupe pas des maladies. C’est le rôle du médecin. 

Il observe son client, lui pose des questions, fait le point sur son hygiène de vie, l’aide à faire les bons choix pour éviter d’affaiblir son corps. 

Il prend en compte son histoire, son tempérament naturopathique. Il lui propose des recommandations adaptées. C’est un accompagnement simple et bienveillant. 

Le dialogue entre le naturopathe et son client permet d’établir un programme d’hygiène vitale. (10)

En France, la profession est déjà en partie structurée. 1600 naturopathes sont réunis au sein du syndicat OMNES. (12)

Il existe également une Fédération des Écoles de Naturopathie qui recense 6000 naturopathes en exercice. (13)

D’autres professions liées à la prévention pourraient être reconnues comme celle des nutritionnistes ou des herboristes. 

Les ostéopathes, quant à eux, sont reconnus, mais non remboursés par la sécurité sociale. 

Prendre soin des autres et les aider à vivre mieux 

En France, la vaccination fait office de prévention. Mais elle ne fait pas sortir les gens de chez eux. Elle ne les incite pas à manger mieux. Elle ne les aide pas contre la pollution. 

Pour cela, il faut de l’humain. Il faut des compétences. 

Il faut des métiers de la prévention : naturopathes, nutritionnistes ou encore herboristes. 

Aidez-moi à faire en sorte que cette mesure soit la première prise par le nouveau gouvernement. 

Signez notre grande pétition et faites la signer autour de vous !

Un grand merci !

Pour la reconnaissance du métier de naturopathe !

Monsieur le Président de la République, 

Mesdames et Messieurs les candidats aux élections législatives, 

En France, la prévention passe surtout par la vaccination.

Il serait cependant possible d’aider les populations à mieux se préparer face aux futures épidémies.  

Par exemple, une supplémentation plus systématique à la vitamine D des plus de 50 ans durant l’hiver aurait un effet très protecteur contre les virus.

Le suivi de ce type de mesure ou des campagnes de communication gouvernementales pourrait être fait par des naturopathes diplômés ou par d’autres professionnels de la prévention comme les herboristes ou les nutritionnistes. 

En effet, il existe en France des écoles et une tradition de la naturopathie. La profession est crédible pour assurer ce service auprès des citoyens. 

Il ne s’agit pas de soigner les gens. 

Il ne s’agit pas de maladie. 

Ces domaines appartiennent au médecin et au pharmacien. 

Il s’agit d’aider les gens à vivre mieux, moins stressés et plus sainement. 

Des professionnels compétents sont prêts à relever ce défi. 

Et vous Monsieur le Président de la République ?

Et vous Mesdames et Messieurs les candidats aux élections législatives ?