Nous sommes en février 2025, et pourtant, des milliers de victimes du médicament Androcur sont toujours ignorées, abandonnées, méprisées.

Plus de 30 000 femmes en France ont développé des méningiomes (tumeurs cérébrales) après avoir pris de l’Androcur (1).

Des témoignages bouleversants émergent :

• Nadia Garrigue, directrice d'une agence bancaire en Dordogne, a subi une opération en urgence pour retirer une tumeur cérébrale de la taille d'une orange après avoir pris de l'Androcur pendant des années. Elle souffre aujourd'hui de troubles cognitifs et de mémoire, l'obligeant à noter chaque détail de sa vie quotidienne (3).
• Emmanuelle Choussy, photographe à Toulouse, a découvert en 2021 une tumeur de 7 cm dans son cerveau après 18 ans de prise de Lutényl, un progestatif similaire à l'Androcur. Elle fait face à une opération lourde et à des conséquences incertaines sur sa santé et sa carrière (4).

Et pourtant, Androcur est toujours en vente, prescrit massivement et défendu par l’industrie pharmaceutique. Jusqu’à quand allons-nous accepter que les profits passent avant la vie humaine ?

Un scandale sanitaire au même niveau que le Mediator !

Nous avons déjà vu cela avec le Mediator, le Vioxx, les implants mammaires toxiques. Les laboratoires savaient, mais ils ont préféré se taire. Les autorités sanitaires ont tardé à réagir, laissant les victimes seules face à leur détresse.

Depuis 2011, des études montrent que l’Androcur multiplie par 20 le risque de méningiome (2).

Ce médicament continue d’être prescrit, y compris à des adolescentes, sans information claire sur les dangers qu’il représente.

Des documents internes montrent que les laboratoires connaissaient ces risques depuis des décennies. Pourquoi n'ont-ils rien fait ? Pourquoi l’État et les autorités de santé n’ont-ils pas pris leurs responsabilités ?

Des victimes laissées sans réponse

En plus des tumeurs cérébrales, les femmes victimes de ce scandale vivent un cauchemar quotidien :

• Perte de concentration et de mémoire, empêchant de travailler normalement.
• Crises d’épilepsie rendant tout projet de vie instable.
• Dépendance médicale à vie, avec des examens réguliers pour surveiller d’éventuelles récidives.
• Isolement social, peur de l’avenir, détresse psychologique.

Combien d’autres femmes doivent être sacrifiées avant que des mesures soient enfin prises ?

Nos revendications

• Interdiction immédiate d’Androcur tant que des études indépendantes n’auront pas démontré sa totale innocuité.
• Création d’un fonds d’indemnisation pour les victimes, financé par les laboratoires pharmaceutiques responsables.
• Mise en place d’une enquête publique transparente sur les liens entre l’industrie pharmaceutique et les autorités sanitaires.
• Information obligatoire et claire pour toutes les patientes ayant été exposées à Androcur, avec un dépistage gratuit des méningiomes.
• Réforme de la pharmacovigilance, afin que plus jamais un scandale comme celui-ci ne puisse être ignoré aussi longtemps.

Le silence tue, réagissons maintenant !

Chaque jour qui passe, des femmes découvrent qu’elles ont une tumeur cérébrale à cause d’Androcur. Combien en faudra-t-il encore avant que le gouvernement agisse ?

Ne laissons pas ce scandale être enterré comme tant d’autres. SIGNEZ et partagez cette pétition ! Exigeons justice et transparence pour les victimes d’Androcur !