Un grand besoin d’air pur

Cela fait bien trop longtemps que nous nous réfugions dans des discours de façade mais que les mesures concrètes tardent à venir.

Le GIEC ne cesse de nous le rappeler : le changement climatique est commencé et notre inaction complaisante dans ce domaine est criminelle.

À travers cette pétition, nous exhortons nos responsables politiques à saisir l’urgence de la situation, non seulement pour la survie de notre planète mais aussi pour la santé de tous.

En effet, les conséquences de la pollution ne se limitent pas à l’augmentation de la température sur terre. Au-delà d’entraîner la fonte des glaces et la montée des eaux, les émissions de particules fines dégradent les poumons de ceux qui les respirent.

Selon l’OMS, près de 7 millions de décès dans le monde seraient directement causés par ce fléau.

Prenons conscience que notre mode de vie basé sur la surconsommation irraisonnée a très largement dépassé ses limites puis décidons collectivement de modifier notre destin.

L’explosion des cancers est loin d’être un hasard

Malgré les discours défaitistes de plus en plus développés par nos dirigeants, une politique ambitieuse en matière de transition écologique est réellement en mesure de changer la donne.

Une récente étude menée par des scientifiques français affirme que près de 30 % des cancers sont directement liés à la pollution de l’air.

Le carbone suie est le principal élément qu’il nous faut réussir à faire reculer, notre bien-être en dépend.

Cette particule fine extrêmement nocive a la capacité de pénétrer dans l’appareil respiratoire des individus et dans le sang puis d’engendrer des dégâts irréversibles.

Les particules fines sont reconnues depuis 2013 par le Centre international contre le cancer comme des cancérogènes certains et favorisent l’apparition de maladies cardiovasculaires diverses.

Allons-nous laisser ce danger continuer à nous rendre malade ou sommes-nous prêts à nous mobiliser pour le faire reculer ?

Une action multidimensionnelle

En tant que responsables politiques présents à la tête de l’État chargés de définir les grandes orientations de notre pays, votre pouvoir est décisif.

Le peuple ne vous pardonnerait pas d’être restés inactifs devant la catastrophe qui s’annonce et d’avoir refusé de suivre les recommandations émises par les experts du monde entier.

À l’image des scientifiques réunis dans le GIEC, ceux-ci nous fournissent une feuille de route prête à l’emploi qu’il vous suffit de mettre en application.

À vous de prendre votre part

Vous l’avez compris, nos ministres et nos députés ont une responsabilité historique que nos signatures permettront de réaffirmer.

Plus nous serons nombreux, plus ce cri d’alerte aura de résonance.

Dans un second temps, il appartient à chacun de mettre son quotidien en adéquation avec ses convictions et d’agir à sa propre échelle.

Avec la bonne volonté de tous, pouvoirs publics en tête, nous pourrons améliorer la qualité de l’air et prendre soin de notre santé.

À vos signatures ! Créons ensemble un appel majoritaire qu’il ne sera pas possible d’ignorer.