Des additifs dangereux dans nos assiettes ? Dites stop à ce scandale

Destinataire(s) : Ministère de la Santé
Des additifs dangereux dans nos assiettes ? Dites stop à ce scandale

Cancers, troubles neurologiques, et même décès prématurés : chaque jour, des millions de Français consomment des additifs alimentaires dont les effets sur la santé seraient mis en cause par des études¹. De plus, une enquête de Marianne a révélé dernièrement que certains produits nocifs interdits en France étaient encore présents dans nos rayons² !

Alors que nos voisins européens comme l’Italie et l’Allemagne imposent des restrictions plus strictes³, il serait grand temps de nous en inspirer pour protéger notre santé !

Pourquoi devrions-nous nous mobiliser ?

Des études indépendantes pointent du doigt ces additifs pour leurs effets potentiellement délétères sur l’organisme. Parmi les additifs les plus controversés, on retrouverait :

  • Le nitrate de sodium (E251) et le nitrite de sodium (E250) : présents dans la charcuterie (jambon, saucisson, lardons), ils pourraient être impliqués dans un risque accru de cancers colorectaux et de maladies cardiovasculaires⁴.
  • Le butylhydroxyanisol (BHA, E320) : classé comme potentiellement cancérigène par l’OMS⁵, il serait toujours utilisé dans des céréales pour enfants, soupes en poudre et chewing-gums⁶ !
  • Le glutamate monosodique (E621) : un exhausteur de goût omniprésent dans les plats préparés, chips, et sauces industrielles, soupçonné d’être neurotoxique et de favoriser l’obésité et les troubles métaboliques⁷.
  • Le dioxyde de titane (E171) : suspecté d’être cancérigène, il a été interdit en France en 2020 mais resterait encore présent dans certains produits importés comme les bonbons, chewing-gums et pâtisseries industrielles⁸.
  • Le dioxyde de soufre (E220) : utilisé dans les fruits secs, les vins et certaines confiseries, il pourrait être lié à des troubles respiratoires et des réactions allergiques sévères⁹.


📢 Ces substances ne devraient-elles pas être retirées des rayons tant qu’aucune preuve définitive ne garantit leur innocuité ?

Ensemble, exigeons l’interdiction des additifs les plus dangereux !

La double peine pour les consommateurs

Non seulement certains aliments seraient pauvres en nutriments, mais en plus, ils contiendraient des additifs problématiques pour masquer cette pauvreté nutritive. Par exemple, les exhausteurs de goût comme le glutamate monosodique (E621) sont utilisés pour donner artificiellement de la saveur à des plats bon marché, souvent pauvres en nutriments. Pendant ce temps, les consommateurs continuent d’acheter ces produits, pensant qu’ils sont inoffensifs, au moment où l’UFC que Choisir s'interroge sur leur neurotoxicité¹⁰.


Pire encore, certains de ces additifs seraient interdits ailleurs dans le monde, mais tolérés en France.

Par exemple, l’Erythrosine (E127), un colorant rouge, est autorisé en France pour colorer les cerises confites et certains produits dérivés. Cependant, il est interdit dans plusieurs pays comme les USA, en raison de suspicions de cancérogénicité !¹¹


Des effets reconnus mais des décisions tardives

Malgré des alertes scientifiques répétées, la réglementation avance trop lentement. Il faudrait parfois des décennies avant qu’un additif ne soit interdit, le temps que les preuves s’accumulent et que les institutions réagissent. Or, pendant ce temps, des millions de consommateurs continuent d’ingérer ces substances chaque jour.

L’exemple du bisphénol A, longtemps utilisé dans les plastiques alimentaires avant d’être progressivement interdit, illustre bien cette inertie réglementaire. 


Ne devrions-nous pas agir plus rapidement lorsque des doutes sérieux existent sur la sécurité d’un additif ?

Ne restons pas passifs ! Faisons pression pour protéger notre santé. Signez la pétition maintenant !

Les dérives sanitaires de la grande distribution

Les industriels ont recours à des additifs, alors même lorsque des alternatives plus saines pourraient exister¹².

En France, la présence d’additifs dans les produits alimentaires serait plus importante qu’en Italie ou en Allemagne. 

Pourquoi notre pays accepterait-il davantage de substances suspectes que nos voisins européens ?

Cette situation aurait un impact direct sur la santé publique : la consommation excessive d’additifs est suspectée d’aggraver des maladies chroniques comme le diabète, les troubles digestifs et certains cancers¹³.

Nos enfants aussi sont concernés !

Les effets néfastes des additifs ne se limiteraient pas à la santé des adultes : ils pourraient aussi impacter les enfants dès leur plus jeune âge. Plusieurs études suggéreraient un lien entre certains additifs et des troubles du comportement chez les enfants, notamment l’hyperactivité et les difficultés de concentration¹⁴.

Si nous n’agissons pas maintenant, une génération entière pourrait souffrir des conséquences de cette exposition quotidienne.

Une alternative est possible !

Les industriels justifieraient l’usage des additifs par des raisons économiques et pratiques : prolonger la durée de conservation, améliorer l’apparence des produits ou encore renforcer le goût. Pourtant, il existerait des alternatives plus sûres !

  • Remplacer les colorants artificiels par des extraits naturels comme le curcuma, la betterave ou le paprika¹⁵
  • Préférer des conservateurs naturels tels que le vinaigre, le sel de mer ou les ferments lactiques¹⁶ 
  • Réduire la transformation des aliments, en privilégiant des produits frais et bio.
  • Développer des techniques de conservation innovantes comme la haute pression ou le conditionnement sous atmosphère protectrice, déjà utilisées par certaines marques responsables¹⁷

Certaines enseignes se seraient déjà engagées à bannir les substances les plus controversées, preuve qu’un autre modèle est possible. 

La France ne devrait-elle pas encourager ces bonnes pratiques et interdire purement et simplement les additifs dont la dangerosité est suspectée ?

C’est pourquoi Nous demandons :

=> L’interdiction immédiate des additifs les plus à risque.

=> Un étiquetage plus clair: informant les consommateurs des effets potentiels de ces substances.

=> Un renforcement des contrôles et des études indépendantes sur les additifs autorisés.

=> Un engagement de la grande distribution à retirer progressivement ces substances de leurs produits.


📢 Alors, agissons maintenant ! Signez et partagez au maximum la pétition pour faire entendre notre voix et protéger notre santé ainsi que celle de nos enfants !

Auteur : Philippe Rivière

<% $t("Number of signatures:") %>

En signant la pétition j'accepte que Les Lignes Bougent traite mes données à des fins de gestion des signatures et des commentaires. J’accepte également d’être informé(e) des actions citoyennes initiées via Les Lignes Bougent. Pour en savoir plus sur ces traitements et sur mes droits, je consulte la politique de confidentialité. Tout commentaire doit respecter la charte des contenus de la communauté LLB. Lire la charte.
<% $t("Hour") %> <% $t("Postal Code") %> Nom
<% signature.lapse %> <% signature.details.postalCode %> <% signature.details.name %> <%signature.details.surname %>

Commentaires