Effets secondaires des vaccins anti-Covid sur les jeunes : on veut les chiffres !

Ces derniers temps, la multiplication des articles sur les boissons énergisantes intrigue.

En fait, il s’agit de fournir une explication à la multiplication des problèmes cardio-vasculaires chez les jeunes, problèmes qui découlent vraisemblablement du vaccin anti-Covid et qui restent un tabou.

Quand aurons-nous les véritables chiffres ? Signez cette pétition pour enfin mettre la pression sur le gouvernement. Nous DEVONS savoir !

Les boissons énergisantes ont bon dos

Les boissons énergisantes ne sont pas inoffensives, et en ce moment, de façon plus que suspecte, la presse concentre ses feux sur elles.

La motivation des rédactions est assez opaque : les boissons énergisantes ont été fortement régulées au moment où elles sont arrivées sur le marché, et cela fait maintenant une vingtaine d’années qu’elles sont en vente libre.

Il se trouve que des cardiologues turcs (la consommation devait être assez forte là-bas) avaient sonné l’alarme déjà en 2017. Les arythmies cardiaques causées par ces boissons pouvaient entraîner des décès[1]. Certes, très rares, mais bien réels.

Situation qui était connue des autorités publiques françaises. L’ANSES avait déjà produit un rapport en 2012 qui témoignait, même en l’absence de décès constatés, de plus de 200 effets secondaires différents, principalement cardio-vasculaires[2].

Il y a cependant eu des cas un peu plus complexes : hallucinations, crises d’épilepsie… Mais ce qui inquiète, ce ne sont pas les résultats, ce sont les causes.

Le culte de la performance ? Pas seulement

Cependant, là où les études françaises officielles croisent le constat des cardiologues turcs, c’est sur un phénomène que l’on n’aurait pas cru possible.

D’après l’ANSES, 41 % des consommateurs de boissons énergisantes les boiraient à des fins de performances sportives, contre 32 % lors d’occasions festives. 16 % seulement les mélangeraient avec de l’alcool…

Cette observation est en quelque sorte corroborée par un récit du Sun, le journal anglais à sensation, qui nous rapporte le décès d’une jeune femme en 2021, qui s’est retrouvée en état de mort cérébrale après une crise cardiaque[3].

Mais pourquoi est-ce que ce récit « remonte à la surface » de l’actualité alors que la patiente est décédée il y a quatre ans ?  

Ce serait, paraît-il, parce que la consommation de boissons énergisantes aurait beaucoup augmenté…

En effet, en 2024, elle se serait accrue de 12%, ce qui est assez considérable… mais après tout, il ne s’agit que de boissons qui équivalent à plusieurs cafés pris les uns à la suite des autres…

Il y a plutôt lieu de croire que cette campagne dissimule des questions un petit peu plus gênantes.

C’est fou, tout ce qui crée des problèmes cardiovasculaires…

Rares sont les moins de trente ans qui ne boivent pas de boissons énergisantes au moins une fois par mois… Quand on a envie d’un petit coup de fouet avant de sortir, ou en fin de soirée.

Cependant, c’est en s’interrogeant sur la recrudescence des maladies cardiovasculaires liées au sport que l’on retombe sur une question qu’on se posait assez fréquemment il y a quelques mois : est-ce la faute du vaccin anti-Covid ?

Il se trouve qu’il y a eu de réels cas de myocardite et que des vies de jeunes ont été brisées à cause de cette injection expérimentale. Mais il est impossible de trouver les chiffres totaux. Ils ne sont disponibles nulle part.

Il y a bien sûr le site de fact-checking AFP Factuel, spécialisé dans le mensonge d’État[4], qui tient absolument à débunker l’information selon laquelle il semble y avoir eu autant de sportifs morts à la suite du vaccin que de sportifs morts entre 1966 et 2004.

Alors, quels sont les chiffres réels que l’on nous oppose ? Combien de morts du vaccin ? Combien d’effets secondaires cardio-vasculaires ?

Les chiffres ne collent pas

Le site de l’AFP Factuel, qui est une agence d’État, nous renvoie à un autre site d’une autre agence d’État, l’ANSM[5]. Celle-ci nous en apprend plus sur les effets secondaires du vaccin entre fin octobre et fin novembre 2022.

On y voit apparaître les 5 vaccins utilisés par le gouvernement, dont 4 ont été retirés de la circulation faute d’offrir des garanties de sécurité suffisantes. Sur le nombre impressionnant des effets secondaires recensés, il n’est pas précisé clairement le nombre d’effets graves (c’est-à-dire de patients décédés ou handicapés à vie), on nous dit simplement qu’il est négligeable. S’il est vraiment négligeable, on aurait aimé avoir le chiffre exact…

Les chiffres ne « collent » pas avec ceux du site Eudravigilance, dont l’accès a été interdit au public en 2023, bien après que les effets secondaires graves du vaccin Pfizer ont dépassé le million dans l’ensemble de l’Union européenne.

Mais nous n’aurons pas les chiffres exacts, et nous ne les aurons peut-être jamais. Au lieu de ça, on nous fait croire, en exhumant des articles anglais parlant d’une fille morte il y a quatre ans, que les jeunes touchés par des problèmes cardiaques le doivent à leur consommation excessive de caféine.

C’est inquiétant, car cela signifie que beaucoup de gens se posent des questions, et que la seule réponse qu’on a à leur proposer, ce sont des simulacres ridicules.

Que l’on nous sorte la triste histoire des boissons énergisantes nous fait comprendre que nous n’en avons pas fini avec les effets secondaires des injections expérimentales ARNm. Et aussi que la jeunesse n’a pas fini d’en être victime…

Nous voulons les chiffres, MAINTENANT !

Signez ci-dessous notre pétition,