Chers lecteurs,
Saviez-vous que des disciplines comme l’ostéopathie, l’acupuncture, la naturopathie,
l’hypnose ou encore l’homéopathie…
Ne sont toujours pas reconnues par l’État français ? (1)
Pire encore…
Elles ne sont même pas enseignées dans les formations initiales des professionnels de santé. (2)
Pourtant, vous, qui me lisez… n’avez-vous pas déjà ressenti leurs bienfaits ?
DES SOINS NON REMBOURSÉS : UNE HONTE
Évidemment, si ces soins ne sont pas reconnus… ils ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale.
Alors posons LA question qui dérange :
Pourquoi ces médecines douces sont-elles discriminées ?
Combien de personnes ont-elles déjà ressenti un apaisement ou vu leur bien-être amélioré grâce à ces pratiques douces ?
Si elles fonctionnent… pourquoi un tel mépris ?
Pourquoi ces médecines sont-elles marginalisées, ignorées, et presque reléguées au rang de simples croyances ?
En Suisse, ces approches sont reconnues et prises en charge
Et elles sont considérées pour ce qu’elles sont vraiment : des approches complémentaires légitimes (3).
- Les assurances santé suisses les remboursent (équivalence des mutuelles françaises),
- Elles font partie intégrante du système de santé.
Pourquoi la France reste-t-elle à la traîne ?
Qu’est-ce qui justifie cette différence de traitement ?
Ce que nous demandons :
1. Reconnaissance officielle des médecines douces : Intégrer ces approches complémentaires dans les parcours de santé publique pour offrir une prise en charge globale et adaptée à chaque individu.
2. Accès élargi aux approches naturelles : Encourager la mise en place de structures de bien-être multidisciplinaires alliant médecine conventionnelle et pratiques douces.
3. Soutien à la recherche scientifique : Financer des études sur l'efficacité des pratiques naturelles afin de les intégrer de manière éclairée dans les politiques de santé publique.
4. Sensibilisation et information : Promouvoir la compréhension des bienfaits de la santé naturelle à travers des campagnes de sensibilisation et des programmes d'accompagnement.
Agissez maintenant pour une prise en charge et une reconnaissance des médecines douces
Ne laissons pas l’accès aux approches naturelles devenir un luxe réservé à ceux qui en ont les moyens.
Ne les laissons pas être marginalisées, au risque de les voir disparaître.
Signer, c’est défendre notre droit à la santé.
Signer, c’est revendiquer notre liberté de choisir nos soins.
Signer, c’est refuser d’être soumis à des solutions imposées.
1 Les pratiques de soins non conventionnelles, sante.gouv.fr 2024
2 Les pratiques de soins non conventionnelles, qualité sécurité et pertinence de soins, sante.gouv.fr 2024
3 Médecines complémentaires pratiquées par des médecins, Office fédéral de la santé publique, OFSP 2025
Commentaires