NON à l’obligation de vacciner nos enfants !

Destinataire(s) : À l’attention de la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq
NON à l’obligation de vacciner nos enfants !

11 vaccins obligatoires, et demain ?


Nous, citoyens, parents, et défenseurs de la liberté individuelle, exigeons la fin de l'obligation vaccinale pour nos enfants !

Madame la Ministre, 

En France, depuis la loi du 30 décembre 2017, l'État impose à chaque parent d’injecter pas moins de 11 vaccins leurs enfants. 

Non seulement ces 11 vaccins sont obligatoires, mais aujourd'hui, nos nourrissons et nos enfants sont exposés à un total de 16 vaccins recommandés

16 injections dans le corps d'un être fragile et en développement, 16 vaccins dont 11 obligatoires !

Cette obligation est un abus de pouvoir ! 

Pourquoi l'État s’arroge-t-il le droit de nous obliger dans de telles décisions ? 

Cette dérive de l'État nous prive de notre libre arbitre, nous contraint à céder notre autonomie parentale sous prétexte de santé publique. 

L’État ne doit pas outrepasser son rôle de conseiller en matière de politique de santé !

Nous ne demandons rien de plus que le droit de décider pour nos propres enfants, avec les conseils de l’État (et non pas ses obligations !). 

Nous ne demandons pas d’interdire la vaccination, nous demandons simplement de pouvoir choisir

Pourquoi devrions-nous nous taire alors que la liberté de consentement est l'un des fondements de la démocratie et de l'éthique médicale ? 

Le Dr. Alexandra Henrion-Caude, généticienne de renom, rappelle qu’un consentement véritablement éclairé est nécessaire. Pourtant, cette obligation vaccinale bafoue notre droit à la réflexion et à l'information.

11 vaccins obligatoires dans le corps de nos enfants : jusqu’où ira l’État ?

11 vaccins obligatoires pour les nourrissons et les enfants, cela devrait tous nous alarmer ! 

Nous ne nions pas que certains vaccins ont leur utilité, mais le corps humain, celui de nos enfants, n'est pas conçu pour être soumis à une avalanche de traitements dès la naissance

La vaccination n'est pas sans risques : rougeurs, fièvres, réactions allergiques, convulsions et dans de rares cas, des effets plus graves. 

Dr. Christian Perronne, infectiologue, dénonce cette approche aveugle qui ignore l'individualité biologique de chaque enfant.

De quel droit impose-t-on cela, quand le risque, même faible, pourrait être évité en laissant aux parents le choix ?

Des vaccins obligatoires injustifiés : une dérive vaccinale inacceptable !

Rappelons-le… Parmi les 11 vaccins obligatoires imposés aux nourrissons en France, plusieurs sont critiqués pour leur manque de pertinence. 

Le vaccin contre l’hépatite B, par exemple, est administré à tous les bébés dès leur plus jeune âge, alors que cette maladie se transmet essentiellement par des comportements à risque, éloignés de la réalité des nourrissons. 

De même, le vaccin contre le méningocoque C, bien que ciblant une infection grave, reste contesté puisqu’il pourrait être réservé aux populations réellement à risque.

Et le vaccin contre les infections à pneumocoque ? Il expose les enfants à des effets secondaires pour une infection devenue rare et souvent sans danger grâce aux progrès de l’hygiène.

À cette liste s’ajoute désormais le Beyfortus®, recommandé pour prévenir la bronchiolite. 

Bien que non obligatoire, il est fortement conseillé, alors même que la bronchiolite reste bénigne chez la majorité des enfants en bonne santé. Empêcher nos enfants de développer leur immunité naturelle en multipliant ces injections affaiblit leur système de défense et crée une dépendance injustifiée à des traitements pharmaceutiques.

Cette pression pour la vaccination de masse répond-elle à une nécessité médicale réelle ou à des intérêts financiers ? 

En imposant ou en conseillant sans nuance 16 vaccins aux nourrissons, l’État oublie le droit des parents de choisir et cède aux pressions de l’industrie pharmaceutique. 

Cette dérive doit cesser : nous exigeons le respect de notre liberté de choix et la fin de cette vaccination systématique non justifiée ! Les enfants de nos voisins suisses et anglais ne sont pas soumis à une telle obligation, prenons exemple sur eux !

Et les intérêts économiques ? Nous n'avons pas oublié !

Nous ne l’oublions pas, l'industrie pharmaceutique tire des bénéfices colossaux de cette vaccination de masse. 

Dr. Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, a lui-même dénoncé l’influence des laboratoires pharmaceutiques dans les décisions sanitaires. 

Les milliards générés par cette politique vaccinale nourrissent une économie opaque, où l'intérêt de quelques-uns semble parfois primer sur celui des citoyens. 

Nous sommes en droit de questionner les liens entre les décisions de santé publique et les intérêts économiques.

Après le Covid : jusqu’où l'État poussera la vaccination obligatoire ?

Le Covid-19 a marqué un tournant, une escalade sans précédent dans la gestion de l’État de nos vies ! 

Les restrictions, les pass sanitaires, et la pression massive pour la vaccination : tout cela a redéfini la liberté de choix. Si les adultes ont été les premiers touchés, nos enfants n’ont pas été épargnés.

Avec l’introduction des vaccins Covid pour les plus jeunes, c’est clair : l’État franchit une ligne rouge.

NOUS DISONS STOP À L’INGÉRENCE !

Le Dr Didier Raoult a dénoncé les incertitudes liées aux effets des vaccins ARN sur les enfants et les jeunes. 

Selon lui, il est irresponsable d’exposer nos enfants à ces vaccins sans recul scientifique suffisant. 

Où est la prudence, où est le respect de leur santé ? Nos enfants ne sont pas des cobayes, et les effets à long terme de ces vaccinations restent inconnus. 

Aujourd’hui, nous avons 16 vaccins dont 11 obligatoires, et demain ? Avec les vaccins Covid, l'État a pris le pouvoir sur nos corps et ceux de nos enfants. 

Jusqu’où l’État peut-il imposer des interventions médicales, jusqu’où peut-il balayer du revers de la main la liberté et l’intégrité des citoyens ?

Demain, chaque nouvelle injection pourrait être un ordre, un choix arraché, une liberté sacrifiée – jusqu'à ce qu'il ne nous reste plus aucun droit de dire NON !

C’est une pente glissante vers une vaccination forcée et systématique de chaque innovation médicale. Nos enfants méritent mieux que ça, ils méritent notre protection, et nous exigeons que leur santé reste entre les mains de leurs parents, pas de l’État !

Refusons cette dérive ! Signons pour la liberté de choisir.

Pour nos enfants, nous exigeons la liberté de choisir !

Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, le respect de la liberté individuelle est le fondement de toute société juste. 

Nous exigeons la liberté de choisir pour nos enfants

Informez-nous, sensibilisez-nous, mais n'imposez pas à nos familles ce choix que vous faites à notre place

La santé publique n’est pas synonyme de coercition.

Nous exigeons l'abolition de l'obligation vaccinale pour nos enfants ainsi que toutes les pressions exercées sur les familles qui souhaitent jouir de leur droit de choisir. 

Il est temps de respecter notre droit le plus fondamental, celui de consentir. 

Citoyens français, il est grand temps d’unir nos voix pour une politique de santé publique fondée sur la liberté, la transparence et le respect des droits individuels.

Refusons ensemble cette ingérence dans nos vies privées et exigeons un retour à la liberté de consentement éclairé. Parce que nos enfants le méritent.

Signez cette pétition pour protéger nos enfants de politiques intrusives et liberticides !

Auteur : Mélanie Sigali

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