Les parents de Pontault-Combault sont préoccupés par le coût excessif des cantines et centres aérés pour leurs enfants.
En effet Pour la plus part, la moitié de notre salaire passe dans le périscolaire!
Nous n'avons eu aucune communication ni explications sur cette énième hausse de tarif.
Doit-on restez chez nous pour nous en sortir ?
Nous navons plus de sous!
Nos poches sont vides !!
Non seulement les prix sont élevés, mais la qualité et la quantité des repas servis ne sont pas à la hauteur. Nos enfants rentrent souvent de l'école et ont encore faim, ce qui est inacceptable compte tenu du prix que nous payons.
Concernant le centre, le nombre limité de sorties et de places disponibles (une galère pour les vacances) dans les centres ne justifient pas ces tarifs élevés.
Selon une estimation récente du Conseil national de la restauration collective (CNRC), le coût moyen d'un repas scolaire en France est d'environ 2 euros (1). Et meme plafonné dans certaine ville (comme emerainville par exemple)
Cependant, dans notre commune, nous payons un montant qui pourrait nourrir deux enfants. Il est temps que cette situation change.
Nous demandons donc aux autorités locales de réviser ces tarifs afin qu'ils soient plus abordables pour tous les parents et qu'ils reflètent mieux la qualité du service fourni. Nous demandons également une amélioration de la qualité des repas servis dans nos cantines scolaires.
Signez cette pétition si vous soutenez notre cause pour un meilleur accès à une alimentation saine et abordable pour nos enfants à Pontault-Combault.
1. https://www.ouest-france.fr/education/rentree-scolaire/comment-eviter-la-flambee-du-prix-des-cantines-0d420162-2958-11ed-9daf-a8059dc7f1c0
Pour les écoles maternelles et primaires, la décision d’augmenter ou non le coût du ticket se prend au niveau de la commune. Le Conseil national de la restauration collective (CNRC) estime que sur un coût moyen de 2 € par repas, la hausse est en moyenne de 20 %. 10 % de hausse de prix liés à l’inflation, 10 % de hausse liée à l’application de la loi Egalim 1 sur les produits de qualité depuis janvier », détaille le coprésident de son groupe de travail économique, Pierre Perroy.
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