Autrefois fondée pour les meilleurs desseins, L’Ordre des Médecins est devenu aujourd'hui un organisme dépassé.
Entre la compétence des médecins qui n'est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l'impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ?
Oui la liste est longue, comme vous pourrez le constater par vous-même un peu plus bas !!
Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.
Le Conseil national de l’Ordre des Médecins est un organisme archaïque qui cumule aujourd’hui les affaires louches, le tout dans un esprit obscurantiste et malsain.
Nous ne sommes plus en sécurité tant que l’Ordre des Médecins existera et détiendra autant de pouvoirs. Je fais donc un appel général au bon sens de tous les citoyens pour demander à ce que cet organisme soit aboli et remplacé par un nouveau plus sain, plus moderne et plus ouvert d’esprit.
L’Ordre des Médecins : à l’origine, c’était quoi ?
L’Ordre des Médecins est né le 7 octobre 1940, sous le régime de Vichy, prenant la forme d’un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public :
- veiller au respect de l’éthique médicale,
- accompagner les médecins en matière de déontologie, de justice et dans leurs démarches administratives,
- se poser comme garant de la relation médecin-patient,
- et comme conseiller des pouvoirs publics et des organismes français de santé publique.
Bien que créé dans un contexte sombre, les missions confiées à cet organisme semblent a priori utiles, voire indispensables. En tout cas en théorie.
Mais dans les faits, le Conseil de l’Ordre ne remplit plus sa mission !
Qu’en est-il de l’Ordre des Médecins aujourd’hui ?
Dans une tribune publiée le 9 mars 2021, 26 organisations (parmi lesquelles plusieurs syndicats de médecins et des associations de patients) ont demandé officiellement la dissolution de l’ordre.
Selon les auteurs de cette tribune, le Conseil de l’Ordre « protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants. »
Et ce ne sont pas des accusations en l’air. Elles reposent en effet sur un rapport à charge de la Cour des comptes paru en décembre 2019[1], pour le moins édifiant.
Voici quelques uns des nombreux manquements que ce rapport soulève :
- un contrôle insuffisant de l’exercice de la profession et de la déontologie ;
- une absence de contrôle de l’actualisation des compétences des médecins ;
- un contrôle hétérogène des contrats entre médecins et industriels ;
- une faible implication de l’Ordre des Médecins dans l’accès aux soins ;
- divers problèmes de gouvernances et défaillances de gestion, etc.
Mais il y a bien pire !
Voici trois dysfonctionnements extrêmement graves que ce rapport soulève aussi :
1) Tout d’abord, l’indulgence dont bénéficient les médecins à qui des patient(e)s reprochent des abus sexuels (pages 104 à 108 du rapport).
Malgré les signalements allant jusqu’à des condamnations au pénal, on ne constate AUCUNE sanction de la part de l’Ordre en lui-même[2].
2) Ensuite, les arrangements obscurs entre les médecins et les laboratoires pharmaceutiques.
La Cour de Compte a pu en effet observer un fait étrange : aucun rappel à l’ordre n’a été émis par le conseil de l’ordre concernant les conventions entre les fabricants de médicaments et les prescripteurs… aucun ! (page 33 du rapport)
A croire que tous les médecins sont irréprochables à ce propos… la bonne blague !
Lorsque le journal Le Monde a souhaité enquêter sur ces relations troubles en mars 2019, le Conseil national de l’Ordre des médecins a refusé de communiquer sa base de données contenant les contrats conclus entre les laboratoires pharmaceutiques et les médecins[3]. Pourtant, fin 2011, après le scandale du Mediator, qui avait révélé l’emprise du laboratoire Servier sur la médecine française, la loi Bertrand avait instauré une obligation de transparence sur ces collaborations[4].
3) Et finalement, les fonds dédiés à l’aide aux médecins en difficulté attribués majoritairement aux conseillers ordinaux (soit les dirigeants du Conseil de l’Ordre) ou au président national lui-même, qui aurait touché jusqu’à 10 000€ par mois (pages 15 et 16 du rapport) alors que, comble de l’ironie, il est censé exercer sa fonction bénévolement…
A ce compte-là, je pense que beaucoup de Français souhaiteraient devenir de fervents bénévoles !
Et les patients dans tout ça ?
C’est à se demander si leur bien-être a encore une quelconque importance aux yeux de cet organisme.
Entre la compétence des médecins qui n'est pas réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, et l'impunité en cas de plainte, il y a de quoi se faire du souci.
Combien d'erreurs médicales ? Combien de négligences faudra-t-il pour que la situation change ?
Et que dire des quelques médecins qui osent porter la voix pour émettre de nouvelles idées et qui se font museler sans ménagement.
Le professeur Henri Joyeux (chirurgien cancérologue), par exemple, pour ses positions concernant la politique vaccinale en France, subit les foudres de l'Ordre des Médecins depuis le 1er décembre 2016. Un véritable feuilleton judiciaire qui dure depuis près de cinq ans et dont le but est de radier cette trop forte tête[5].
La pensée unique semble être plus que jamais de mise dans le monde scientifique et médical.
Une pensée unique dictée par un Conseil de l'Ordre défaillant au plus haut point.
Il est grand temps de faire porter notre voix contre ce non-sens digne de l'obscurantisme.
Signez cette pétition pour :
- soutenir le Professeur Perronne
- dissoudre le Conseil national de l'Ordre des Médecins,
- effectuer une refonte complète de cet organisme pour faire table rase de tous ses manquements actuels et pour qu’il intègre désormais de manière coordonnée et assumée les médecines alternatives au même titre que les traitements conventionnels.
Prenez soin de vous,
L'équipe de Santé Non Censurée
---------------------------------------------------------------
Mise à jour - 04/07/2023
Nous y revoilà !
Après s’être attaqué au site Doctolib (avec pour résultat le déréférencement de près de 6000 professionnels de santé1) et avoir fait la chasse aux naturopathes, le Conseil de l’Ordre, l’organe le plus officiel de la médecine en France, s’attaque désormais… aux mots !
Dans un rapport publié le mardi 27 juin, le Conseil de l’Ordre annonce vouloir encadrer l’utilisation de certains termes, parmi lesquels « médecine » et « docteur ».
Il demande, tout net, que ces termes soient réservés à l’usage des professions médicales conventionnelles.
Le Covid a rapproché les Français des médecines naturelles
L’Ordre estime que depuis le Covid, les « dérives sectaires » ont explosé au point de menacer notre santé.
Il avance pour cela le fait que 1700 courriers ont été envoyés en 2022 pour signaler des dérives2.
Il en déduit que si ce chiffre explose, c’est parce que les Français se réfugient aujourd’hui massivement vers ces médecines douces ou parallèles, et ce… depuis le Covid !
Serait-ce parce que les Français veulent continuer à pouvoir maîtriser leur santé et à la soutenir de la manière qui leur plaît ?
Serait-ce parce qu’aucune solution de soin n’a été proposée pendant le Covid et que les Français, démunis, ont dû chercher des solutions par eux-mêmes ?
Le rapport de l’Ordre préfère ne pas soulever ces questions, sans doute trop dérangeantes.
Le Dr Claire Siret, qui a été aux commandes de ce énième rapport de l’Ordre, explique ainsi :
« Il y a une forme de banalisation des pratiques de soins non conventionnelles, et c’est dangereux. Nous ne diabolisons pas. Le sujet est qu’elles restent des pratiques de bien-être, et ne se substituent pas aux thérapies, au risque de mettre les patients en danger. »3
Je ne m’attarderai pas sur le caractère méprisant de cette remarque (j’entends entre les lignes « soyez mignons, restez jouer dans le bac à sable et laissez les vrais problèmes aux personnes compétentes … »).
Au-delà de cette remarque infantilisante, l’Ordre estime donc que toute tentative d’améliorer sa santé hors du cadre conventionnel est dangereuse car vouée à l’échec.
Cette affirmation soulève un premier problème.
71 % des Français avaient déjà eu recours aux médecines naturelles avant le Covid
En novembre 2019, une vaste étude intitulée « les Français et les médecines douces »4 rappelait quelques chiffres importants.
D’après cette étude, réalisée sur un échantillon de 1500 Français en octobre de la même année, il ressortait que plus de 7 Français sur 10 (71 %) avaient déjà eu recours aux médecines douces.
Plus de 8 Français sur 10 en avaient une bonne image, et la même proportion estimait donc ces pratiques utiles.
Le fait que les Français se tournent vers ces médecines, qui permettent d’apporter d’autres réponses, n’est donc pas nouveau.
La vraie nouveauté est à chercher ailleurs, peut-être dans la défiance de plus en plus grande qu’ont les Français face à la médecine conventionnelle ?
Au manque de personnels dans les hôpitaux ?
Ou encore au faible temps que les médecins généralistes accordent à leurs patients ?
C’est ce que semblent soulever les récentes polémiques autour des médecins généralistes, toujours pas réglées à ce jour.
Mais pour s’attaquer à ce problème de fond, c’est bien la médecine conventionnelle qu’il faudrait réformer, pas les médecines douces…
Car après tout, notre santé nous appartient.
A moins que ce mot, « santé », devienne bientôt réservé à l’usage exclusif de la médecine conventionnelle ?
L’Ordre est en train d’instaurer un climat de peur en France
Un climat qui fait que certains naturopathes (pour ne parler que d’eux) qualifiés, compétents et largement formés n’osent aujourd’hui plus prendre la parole en public.
Ils ne souhaitent plus que leur nom figure dans des articles de santé, et ont même peur que leur photo soit diffusée.
D’un point de vue pratique, depuis le coup de filet de Doctolib5, ces professionnels n’ont également plus accès à des plateformes fiables et connues, permettant la prise de rendez-vous.
Pour nombre d’entre eux, ces derniers mois ont été épuisants en termes financiers.
Le pire dans tout cela est qu’ils sont obligés d’enlever certains termes de leurs sites internet au risque d’être menacés par l’Ordre.
Ils n’ont pas le droit de « soigner » (ne parlons pas de « guérir » !), ne prennent en charge que des « troubles » (surtout pas des maladies ou des pathologies !), n’ont aucun effet « thérapeutiques » (scandale !) et ne s’occupent pas de « patients » mais de “clients”.
Comme me l’ont rapporté certains de ces professionnels, les sage-femmes n’ont plus le droit de proposer des « accompagnements holistiques » à la naissance, les naturopathes et diététiciens ne peuvent plus non plus promettre de « soulager l’endométriose »6.
Bref, comme l’expliquait le Dr Siret, les professions de santé non conventionnelles en sont réduites à faire du « bien-être », et c’est tout.
Bientôt, les médecins douces, les médecines parallèles et les médecines complémentaires n’existeront plus
Et ce constat fait bien plus peur que les « dérives » dont parle l’Ordre.
L’Histoire l’a montré, une profession à qui l’on interdit de s’exprimer et que l’on étouffe, meurt à petit feu.
C’est ce qui s’est passé en France avec la profession d’herboriste dans les années 1940.
Sommes-nous prêts à perdre nos acupuncteurs, nos naturopathes, nos homéopathes, nos oligothérapeutes, nos phytothérapeutes, nos praticiens en médecine ayurvédique, nos nutrithérapeutes, nos ostéopathes… et à nous priver des chances de soins qu’ils nous offrent ?
La pensée unique semble être plus que jamais de mise dans le monde scientifique et médical.
Une pensée unique dictée par un conseil de l'Ordre aveugle à l’évolution de notre société et de nos souhaits.
Il est grand temps de faire porter notre voix contre cet obscurantisme.
Signez cette pétition pour :
- dissoudre le Conseil national de l'Ordre des Médecins,
- effectuer une refonte complète de cet organisme pour faire table rase de tous ses manquements actuels, et pour qu’il intègre désormais de manière coordonnée et assumée les médecines alternatives au même titre que les traitements conventionnels.
Anne de Santé Non Censurée
Mise à jour - 26/08/2022
Le Conseil de l’Ordre des Médecins a encore frappé.
Le 13 septembre, le Professeur Christian Perronne devra se rendre devant la chambre disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre des Médecins d’Île-de-France[a].
Il est convoqué en raison de ses propos sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités[b], pour avoir dénoncé la pénurie de masques, osé prendre la parole sur les tests Covid et leur fiabilité, ou encore pour s’être indigné du lobbying intensif des laboratoires[c].
Pour ses prises de position, le Professeur Perronne risque de se faire sanctionner voire radier de la profession !
Lui qui a dédié sa vie à la médecine !
Lui qui a travaillé sur la politique vaccinale de la région Europe pour l‘Organisation Mondiale de la Santé, qui a travaillé pour l’Institut Pasteur, qui a présidé la Fédération française d’infectiologie, qui a présidé des groupes de travail à l’ANSM[d], qui a travaillé pour le Haut Conseil de la santé publique, etc...[e]
Mais surtout, lui qui combat depuis le début la mascarade du gouvernement dans sa gestion du covid et sa politique de vaccination massive.
Mais comme dit une célèbre chanson…
“Le premier qui dit la vérité, Il doit être exécuté”
Que serions-nous sans l’intervention de ce genre de personnalité ? Sans l’intervention des professionnels de santé qui osent élever la voix contre les dérives du système quand tant d’autres se couchent par carrièrisme ou par peur de rétorsions ?
En convoquant le Pr Perronne, le Conseil de l’Ordre des Médecins démontre une nouvelle fois qu’il est une “machine politique” aux ordres du ministre de la Santé.
Son but : réprimer la dissidence, tuer la liberté d’expression, imposer ses vues aux soignants.
Le Conseil de l’Ordre n’a-t-il pas mieux à faire ?
Ne devrait-il pas s’inquiéter de la corruption de plus en plus généralisée dans le monde de la Santé[f,g] ?
Ne devrait-il pas demander des comptes aux médecins liés aux laboratoires pharmaceutiques ? En particulier à ceux qui défilent depuis maintenant deux ans sur les plateaux de télévision pour faire la promotion des vaccins anti-Covid mais qui omettent de déclarer leurs liens d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques[h,i,j,k] ?!
Une nouvelle fois, cette convocation prouve qu’en France il est dangereux d’avoir un esprit critique.
J’ai besoin de vous !
Il est urgent de soutenir le Professeur Christian Perronne, un des épidémiologistes français des plus brillants, honoré comme tel par ses pairs pendant des décennies mais aujourd’hui voué aux gémonies car il s’oppose à la parole officielle !
Nous devons défendre les médecins éthiques, ceux qui osent dire la vérité !
Pour cela la première étape consiste à dissoudre immédiatement cet organe totalitaire qu’est le Conseil de l’Ordre !
Je soutiens le Professeur Christian Perronne, et il est temps de dénoncer la dérive totalitaire de l’Ordre des Médecins. C’est tout l’objet de cette pétition.
Un Conseil de l’Ordre qui ressemble surtout à un Conseil “aux ordres” du pouvoir en place.
Mise à jour du 04.10.2024
C’est une chasse à l’homme !
Après Amine Umlil et Denis Agret, l’Ordre des médecins condamne Didier Raoult : il n’aura plus le droit d’exercer la médecine pendant 2 ans.
Le professeur étant à la retraite depuis 2022, cette sanction a surtout une portée symbolique.
Elle vise à humilier un homme que l’Ordre des médecins n’a cessé de persécuter.
Cette sanction est aussi un message : “regardez ce que nous pouvons vous faire si vous osez remettre en question nos décisions”.
Le chef d’accusation est toujours le même : l'étude sur l’hydroxychloroquine publiée par l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille sur 30 000 patients malades de la covid-19 aurait été menée de manière “sauvage”.
Mais les études de Raoult à l’IHU de Marseille sont rétrospectives. Elles ne peuvent pas être considérées comme “cliniques” aux yeux de la loi !
Cela veut dire que cette étude de 2023 synthétise plusieurs travaux faisant déjà l'objet de publications, lesquelles n'ont à ce jour jamais été contestées publiquement par le ministère.
Contrairement à ce que sous-entend la condamnation, Raoult N’A PAS séquestré des patients pour leur faire prendre de l’hydroxychloroquine de force !
Il est donc faux et injuste d’appliquer aux études de Raoult les mêmes exigences légales que les vrais essais cliniques (non-rétrospectifs).
Une condamnation politique
Didier Raoult n’est évidemment pas un saint, loin de là.
Mais ce n’est pas l’homme qui est jugé ici.
C’est le médecin libre d’esprit qui a osé critiquer la politique vaccinale.
Sa solution n’avait rien d’absurde. L'hydroxychloroquine est l’un des médicaments les plus prescrits au monde. Notamment contre le paludisme.
Si vous voulez mon avis, qui n’engage que moi, la vraie raison qui a mené à cette condamnation est la suivante.
Pour qu’un vaccin puisse être mis sur le marché en urgence, il faut qu’il réponde à plusieurs critères, et notamment un : qu’il n’existe aucun autre traitement efficace pour la même maladie.
Les premiers essais concluants de Raoult présentaient donc une menace envers les lobbys pharmaceutiques.
Il fallait le museler. Cela a été fait, de nombreuses fois.
D’abord en 2020, quand le journal The Lancet publiait une fausse étude contre l’hydroxychloroquine, alors que Raoult obtenait de bons résultats.
Puis en 2021, lorsque l’Ordre des médecins “claque” Raoult avec un blâme.
Et la dernière en date (2024) était cette fausse étude qui l’accusait d’avoir causé la mort de 17 000 personnes.
Et enfin, la condamnation finale de l’Ordre, avec cette interdiction de pratiquer.
Umlil, Agret, Raoult…qui d’autre sera mis au pilori ?
Désormais, Raoult rejoint les rangs des condamnés au silence par l’Ordre.
Pour rappel, Amine Umlil était responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier de Cholet (Maine-et-Loire). Il revendiquait un rôle de « vigie » et de « lanceur d’alerte » durant la crise sanitaire. Il utilisait le blog du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques pour diffuser ses messages. Il a été désavoué par le juge des référés du tribunal administratif de Nantes en 2023.
Denis Agret, généraliste et urgentiste de 46 ans, a été radié de l’Ordre des médecins (à compter du 1er janvier 2025). D’après la décision complète, Agret se voit reprocher d’avoir minimisé la pandémie, d’avoir traité les autorités de « collabos » et de « criminels », d’avoir critiqué la vaccination « toxique ».
La crise du COVID est officiellement passée. Cela fait déjà 2 ans. Et pourtant…L’Ordre semble assoiffé de vengeance
Son but : réprimer la dissidence, tuer la liberté d’expression, imposer ses vues aux soignants.
Le Conseil de l’Ordre n’a-t-il pas mieux à faire ?
Ne devrait-il pas s’inquiéter de la corruption de plus en plus généralisée dans le monde de la Santé ?,
Ne devrait-il pas demander des comptes aux médecins liés aux laboratoires pharmaceutiques ?
Une nouvelle fois, cette convocation prouve qu’en France il est dangereux d’avoir un esprit critique.
Il est urgent de défendre ceux qui osent dire la vérité !
Je signe la pétition pour la dissolution de l’Ordre des médecins
Et la première étape consiste à dissoudre immédiatement cet organe totalitaire qu’est le Conseil de l’Ordre !
C’est un organisme archaïque qui cumule aujourd’hui les affaires louches, le tout dans un esprit obscurantiste et malsain.
Nous ne sommes plus en sécurité tant que l’Ordre des Médecins existera et détiendra autant de pouvoirs. Je fais donc un appel général au bon sens de tous les citoyens pour demander à ce que cet organisme soit aboli et remplacé par un nouveau plus sain, plus moderne et plus ouvert d’esprit.
Je signe la pétition pour la dissolution de l’Ordre des médecins
Prenez soin de vous,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
[1] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/272231.pdf
[2] Par exemple, l'affaire du chirurgien Joël Le Scouarnec, condamné par la justice en décembre 2020 pour viols et agressions sexuelles sur mineurs, mais aucunement inquiété par l’Ordre. https://www.lepoint.fr/justice/affaire-le-scouarnec-l-introuvable-sanction-disciplinaire-28-08-2019-2332206_2386.php#
[4] Loi Bertrand et loi anti-cadeaux : les dessous de la transparence - Le petit juriste
[5] Le professeur Henri Joyeux, un habitué des polémiques médicales | Le Huffington Post LIFE
6Tous ces cas m’ont été rapportés en direct par ces professionnels de santé.
[c] Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ?, Professeur Christian Perronne, Albin Michel
[d] Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
[e] https://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Perronne
[f] Patricia J Garcia, Corruption in global health, Volume 394, issue 10214, p2119-2124, december 2019, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(19)32527-9/fulltext
[h] https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/accueil/
[i] https://factuel.afp.com/les-liens-linterets-entre-labos-et-medecins-le-soupcon-permanent
Références - mise à jour du 4 oct. 2024
1. "Covid-19 : un pharmacien antivax de l'hôpital de Cholet révoqué", Le Parisien
2. "Le praticien antivax Denis Agret radié de l'ordre des médecins", Le Parisien
3. "Peine alourdie en appel pour Didier Raoult, interdit d'exercer la médecine pendant deux ans", Le Parisien
4. "Question N°9441 de M. François Ruffin", Assemblée nationale
5. "Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis", The Lancet
6. "Le professeur français Didier Raoult reçoit un blâme de l'ordre des médecins", RTS
7. Idem
8. "Montpellier : un médecin antivax relaxé après la publication d'une photo d'enfants sans masque sur les réseaux sociaux", Le Parisien
9. "Corruption in global health", The Lancet
10. "La corruption dans le monde a progressé avec la crise sanitaire du Covid-19, selon Transparency International", France Info
11. "Les liens d'intérêts entre labos et médecins, le soupçon permanent", AFP Factuel
Commentaires