POUR un LIBRE CHOIX de prescrire ou subir un vaccin génétique ou non génétique
et la suspension de l’obligation vaccinale des soignants (au 15/09/2021)
« Appel du 4 septembre » pour soutenir une double (et juste) cause, à court et à long termes :
POUR un libre choix de produire, prescrire ou subir un vaccin génétique ou non génétique
et POUR la suspension immédiate de l’obligation vaccinale de nos soignants (au 15/09/2021),
jusqu’à la mise sur le marché d’un vaccin non génétique classique à virus atténué ou inactivé
au nom des principes "de précaution" et "du libre choix de produire ou consommer sans OGM".
La « crise sanitaire » de la Covid-19 ne doit pas servir de prétexte à une négation de nos libertés.
Elle ne doit pas servir à nous diviser : « anti-vax GENETIQUE » ne signifie pas « anti-vax ».
Les scientifiques sont soucieux des répercussions (positives ou non) de leurs recherches. Il ne faut pas les voir tous comme des « savants fous », ou bien en quête de richesse, et/ou de notoriété.
Les parents sont soucieux de leurs enfants. Ils ont le droit de les nourrir « sans OGM » (règles d’étiquetage), voire « bio » (excluant les OGM), mais non celui de refuser un vaccin génétique ?...
Les médecins sont soucieux de leurs patients (« Serment d’Hippocrate »). Leurs choix individuels, s’ils ne sont pas contraints, sont parfois différents, mais animés du même but : la santé publique.
Si un consensus existait, dans le corps médical, paramédical, ou la communauté scientifique, pour juger les vaccins génétiques un moindre mal que SarsCoV2, l’obligation vaccinale serait inutile.
La situation pourrait être différente si, pour lutter contre la « pandémie », n’existaient que les quatre nouveaux vaccins génétiques (à ADN, ou à ARNmessager) qui nous sont « proposés » dans l’UE.
Plusieurs vaccins classiques à virus atténué ou inactivé, validés par l’OMS, sont disponibles.
Paradoxalement, la France et les pays « favorisés » de l’Union européenne n’y ont pas droit.
On ne saurait justifier par le principe du « Marché unique » la faveur pour les vaccins européens (tous génétiques – les « classiques » annoncés par Pasteur ou Sanofi étant toujours « attendus »).
L’arrivée en premier sur ce « Marché » des quatre vaccins génétiques résulte d’ailleurs du choix politique de leur accorder de larges subventions communautaires, au détriment d’autres recherches.
En France, « pays des droits de l’Homme », on a la chance d’avoir le droit de s’exprimer librement, et des soignants/scientifiques brillants qui ont le courage d’exercer ce droit, pour nous « alerter ».
Une loi française du 16 avril 2013 protège ces « lanceurs d’alerte », accomplissant leur devoir constitutionnel d’information du public, quand l’environnement ou la santé publique sont en cause.
Or les généticiens sont divisés, certains alertant sur le manque de recul et/ou les risques des vaccins génétiques et d’une thérapie génique généralisée, démultipliant les risques de mutations génétiques.
Refusons que nos soignants, célébrés hier pour leur dévouement, ne se voient imposer « demain » (15/09 !) ce risque, fût-il infime, de mutations génétiques, pour eux-mêmes, ou leurs enfants à venir.
Sénat et Assemblée Nationale promettent sur leur site une attention aux pétitions (jugées recevables, dans un délai de 15 jours, qu’on n’a pas) recueillant plus de 100.000 signatures en moins de 6 mois.
A notre tour de prendre soin de nos soignants, en unissant nos forces pour obliger nos dirigeants à nous/les entendre par plus de 100.000 signatures en 10 jours, du 04/09 à l’ultimatum du 15/09/2021.
Merci pour votre aide, quelle que soit la décision que vous avez prise, ou dû prendre, pour le vaccin.
Pétition mise en ligne samedi 4 sept. 2021, par Marie-Pierre Baudin-Maurin
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