SIGNEZ cette PÉTITION afin que les parlementaires votent immédiatement des lois en faveur des animaux sauvages et pour :
- l’abolition de la chasse à courre, la vénerie sous terre, le piégeage des oiseaux, le tir des oiseaux migrateurs.
- l’interdiction de chasser ou piéger toutes les espèces protégées (figurant sur la liste de l’UICN et les directives européennes).
- une réforme radicale de la chasse, avec l’instauration de jours sans chasse et la pénalisation accrue des auteurs d’accidents de chasse et de souffrances infligées à tous les animaux.
- l’alignement de la France sur toutes les décisions européennes concernant la biodiversité.
- la suppression totale de la liste des espèces « susceptibles d’occasionner des dégâts » (ex-« nuisibles ») qui comprend le renard, le blaireau, le putois, la pie, etc.
- la reconnaissance du statut d’être vivant et sensible pour tous les animaux sauvages.
- l’abolition du Plan Loup (l’arrêt total des tirs de destruction des loups) et l’obligation pour les éleveurs de mettre en place des protections efficaces contre d’éventuelles prédations.
Nous invitons tous les électrices et électeurs à signer cette pétition pour qu’une LOI incluant ces demandes soit adoptée conformément aux attentes de la majorité de la population.
Nous demandons au Président de la République et aux parlementaires de prendre en compte ces attentes soutenues par une large majorité de la population et de cesser de soutenir, pour des raisons électoralistes et de satisfaction d'intérêts privés, une minorité agissant contre les animaux. De nombreux députés & plusieurs ministres étant chasseurs, un débat neutre et impartial sur les questions de la chasse et la protection des animaux sauvages est faussé.
Le soutien à cette minorité de chasseurs ne correspond pas à l'intérêt général et ne contribue pas à restaurer la dignité morale de la France, LE pays européen autorisant tristement le plus d'espèces animales à être chassées.
Dans un état de droit, gouvernés et gouvernants sont censés être traités sur un pied d'égalité. Le lobby de la chasse impose sa volonté, en opposition avec les attentes de la majorité de la population.
Face au déni démocratique consistant à ne pas légiférer en faveur de la cause animale jugée importante pour 89% des Français, cette pétition est un message aux élu(e)s censé(e)s nous représenter pour qu’ils légifèrent sur ces sujets.
Si vous êtes excédé(e)s par cette inaction du gouvernement et des parlementaires et pensez que les pétitions n'aboutissent pas, PAR VOS VOTES, VOUS POUVEZ INCITER nos représentant(e)s à écouter et répondre démocratiquement aux attentes de la majorité de la population. Le site Politique et animaux a attribué une note « pour ou contre les animaux » à chaque élu(e). Ce site vous aidera à prendre votre décision par rapport à la candidate ou candidat de votre circonscription. (https://www.politique-animaux.fr).
Début 2022, en l’absence de loi sur ces sujets, nous appellerons les électrices & électeurs à VOTER CONTRE les élu(e)s s’étant opposé(e)s à un vote sur les sujets mentionnés.
Un courrier préalable aux échéances électorales sera adressé à tous les candidat(e)s aux présidentielles, député(e)s et sénatrices & sénateurs, leur demandant de se positionner sur ces sujets. Celles et ceux qui seront contre ou ne répondront pas seront signalé(e)s sur les sites défendant la cause animale.
les Français demandent que les représentants du peuple agissent pour la cause animale
Sondage après sondage, les Français, dans une large majorité, demandent que les représentants du peuple agissent pour la cause animale.
- 89% des Français voteraient pour les mesures du Référendum pour les animaux (dont 87% des ruraux) selon un sondage IFOP de 2020 (source : Caniprof).
- 89% jugent la cause animale importante, selon un sondage IFOP de 2019 (source : Collectif AnimalPolitique).
- 91% des Français sont favorables à une réforme de l’organisation et de la réglementation sur la chasse pour les adapter à la société actuelle, selon un sondage IFOP de 2016 (source : ASPAS & One Voice).
- 81% ne sont pas favorables à la chasse, selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
- 69% rejettent massivement la chasse, selon un sondage IFOP de 2019 (source : 30 Millions d'Amis).
- 91% des Français déclarent que les propositions en faveur de la chasse ne les inciteraient pas à voter pour un candidat, y compris dans les communes rurales. Ils sont même 42% à déclarer que les propositions en faveur de la chasse les dissuaderaient de voter pour un candidat, selon un sondage IFOP de 2019 (source : Collectif AnimalPolitique).
- Réouverture des chasses présidentielles, autorisation des silencieux, division par deux du prix du permis de chasse national… 81%des Français désapprouvent ces mesures d’Emmanuel Macron en faveur de la chasse, selon un sondage IFOP de 2019 (source : Collectif AnimalPolitique).
- 87% des Français souhaitent l’extension de la protection contre les mauvais traitements aux animaux sauvages, selon un sondage SOFRES de 2011 (source : Convention Vie et Nature).
- 78% sont favorables à la reconnaissance du statut d’être vivant et sensible pour tous les animaux sauvages selon un sondage IFOP de 2017 (source : Fondation Brigitte Bardot).
- 82% des Français réclament l’interdiction de la chasse et du piégeage non seulement le dimanche, mais un deuxième jour par semaine, et l’intégralité des vacances scolaires, selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
- 79% sont favorables à la réduction de la période de chasse en France selon un sondage IFOP de 2017 (source : Fondation Brigitte Bardot).
Chasse à courre :
- 84% des Français sont contre la chasse à courre, selon un sondage IFOP de 2017 (source : Fondation Brigitte Bardot).
- 76% se prononcent pour l’interdiction de la chasse à courre, selon un sondage IFOP de 2020 (source : 30 Millions d'Amis).
- 85% considèrent que c’est une pratique cruelle et 76% pensent qu’il s’agit d’une pratique d’un autre âge, selon un sondage IPSOS de 2010 (source : One Voice)
- Déterrage :
- 83% des Français sont pour son interdiction et 73% n’imaginaient pas que la vénerie sous terre, chasse qui consiste à pourchasser avec des chiens jusque dans leurs terriers les animaux, existait encore, selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
Chasses dites «traditionnelles» :
- 84% des Français rejettent le piégeage des oiseaux à la glu, avec des filets, et autres pièges (ne permettant pas de distinction entre les espèces), selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
Animaux dits "nuisibles" :
- 66% des Français sont défavorables à la réglementation qui autorise toute l'année la chasse et le piégeage des belettes, fouines, martres, putois, corbeaux, corneilles, étourneaux, geais des chênes, pies, pigeons ramier, bernaches du Canada... selon un sondage IFOP de 2017 (source : Fondation Brigitte Bardot).
Animaux d'espèces protégées :
- 75% trouvent totalement inacceptable que l’État français fasse abattre des animaux d'espèces protégées, tels que les loups, les vautours ou les bouquetins, au motif qu’ils peuvent représenter un risque, selon un sondage IFOP de 2013 (source : ASPAS & One Voice).
"Chasse" et "sécurité" :
- 84% des Français trouvent la chasse dangereuse pour eux, selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
Soutien de l'État aux chasseurs :
- 3 Français sur 4 trouvent que la baisse du prix du permis de chasse est une mauvaise chose, selon un sondage IPSOS de 2018 (source : One Voice).
LE SCANDALE DE LA PROTECTION A TOUT PRIX DOIT CESSER, JUSTICE pour les auteurs d'accidents de chasse
Depuis le lancement de cette pétition, Morgan, un jeune homme de 25 ans, a été tué par un chasseur dans le Lot alors qu'il coupait du bois dans son jardin. Le chasseur de 33 ans, ayant eu son permis en mai 2020, a déclaré avoir vu une masse sombre et a tiré. Quelques jours après cette mort, les chasseurs rôdaient dans les bois autour de sa maison et des amis du jeune homme leur ont demandé un peu de décence. Les chasseurs ont répondu "on est chez nous" comme si la nature, l'espace, la liberté des autres était leur propriété.
La même semaine était jugé le chasseur ayant tué un vététiste en 2018, en Haute-Savoie. Le chasseur, auteur du tir mortel, est condamné à quatre ans de prison, dont un ferme.
Il lui est juste interdit de chasser durant dix ans et de détenir une arme durant les cinq prochaines années.
Les deux jeunes chasseurs, reconnus coupables d'avoir maquillé la vérité (aucun panneau n'indiquait une chasse au sanglier), sont condamnés à 18 mois de sursis probatoire, qui comprend l'interdiction de chasser et de détenir une arme. On apprend lors de ce procès que certains de ces chasseurs étaient alcoolisés et avaient consommé des stupéfiants. Le procureur reprochera au tireur de se prendre en photo en brandissant son arme à bout de bras comme le Che. Chasser n'est pas un acte normal et sans danger.
Un an ferme transformé en peine aménagée...
Rien ne change.. Seul moyen, battre aux élections tous ceux qui ont intérêt à ne pas faire changer ces pratiques, à ne pas durcir les lois, les auteurs de tirs, de menaces de mort, comme celles envers Pierre Rigaux, alors que certains chasseurs/anti-loups, sur les réseaux sociaux donnent l'adresse de son domicile et profèrent des menaces claires. Ces personnes doivent être lourdement sanctionnées vu leur dangerosité et refus de la libre expression de ceux qui n'approuvent pas leurs pratiques.
Les chasseurs, eux, mettent sur leur profil, être contre le RIP sur la cause animale en disant vouloir préserver "leur" ruralité, alors que 83% des chasseurs sont des citadins. Ils s'approprient la nature, les animaux, ils rejettent la démocratie en refusant ce référendum..
12 députés dont plusieurs chasseurs -donc, avant d'être députés et au service de la démocratie- ont empêché tout débat sur la chasse. Ces députés sont contre la démocratie.
Ils ne peuvent pas se déclarer comme "représentants" des Français, qui à 81% sont contre la chasse, sans écouter cette majorité qu'ils ignorent.
Mobilisons-nous pour qu'enfin, les élus soient responsables et écoutent le peuple et ne cèdent pas par calcul électoral au lobby de la chasse et à l'argent que la chasse génère.
Nos vies valent plus que leurs profits.
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