Karim Boude… son absence pèse sur le groupe. Il faut bien le dire, chacun de nous ressent un vide depuis qu’il n’est plus là. Que ce soit sur le terrain ou en dehors, son énergie, son jeu, sa capacité à fédérer… tout cela manque. Et ce n’est pas juste une question de technique ou de performance sportive. C’est un tout. Karim, c’est quelqu’un qui donne envie de se dépasser. Quand il est là, on sent que l’équipe monte d’un cran, presque naturellement.
Son absence, elle se ressent aussi dans l’ambiance générale. On sait tous que dans une équipe, ce qui se passe hors du terrain est aussi important que ce qui se joue sur la pelouse. Avec Karim, on avait une sorte d’équilibre, une dynamique qui faisait qu’on avançait ensemble, qu’on gardait cette cohésion qui fait les grandes équipes. Depuis qu’il n’est plus là, on a beau essayer de compenser, ça reste compliqué. Certains prennent plus de responsabilités, d’autres essaient de combler le vide, mais ça ne remplace pas ce qu’il apportait. Pas totalement, en tout cas.
Et pourtant, malgré tout, on garde espoir. Parce qu’au fond, on aimerait tous le voir revenir. Pas pour lui mettre la pression, bien sûr. Chacun a ses raisons et ses moments où il doit prendre du recul, et on les respecte. Mais s’il entend ce message, s’il lit entre les lignes, on veut juste qu’il sache qu’il est important pour nous. Pas seulement en tant que joueur, mais en tant qu’ami, en tant que coéquipier.
Alors, Karim, si jamais tu tombes sur ce message, sache que la porte est toujours grande ouverte. On est là, on t’attend, et on est prêts à te retrouver quand tu le seras. Peu importe le temps que ça prendra, l’essentiel, c’est de retrouver cet esprit de groupe qui nous rend si forts ensemble. Reviens quand tu peux, reviens quand tu veux. On sera là. Toujours.
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