Des journalistes utilisent notre méfiance envers Big Pharma pour discréditer des remèdes naturels et restreindre la liberté de se soigner
Voilà ce qu’on pouvait lire dans Sciences & Avenir il y a quelques jours[1] :
Cette nouvelle vise à provoquer en nous une réaction de dégoût :
On se dit : Encore un laboratoire qui privilégie son profit au détriment des patients.
Mais en présentant les choses ainsi, les journalistes dissimulent une offensive SANS PRÉCÉDENT contre la liberté de se soigner.
Dans ce cas précis, l’attaque cible directement le gui(Viscum album), une plante médicinale distribuée par le laboratoire Weleda.
Le gui est un remède millénaire, déjà utilisé au temps des Celtes.
Des milliers de médecins injectent du gui fermenté aux cancéreux POUR ACCOMPAGNER une chimiothérapie.
Certaines études ont montré que le gui fermenté était bénéfique pour 85 % des patients en association d’une chimiothérapie[1].
En France malgré tout, l’autorisation d’importer du gui fermenté injectable n’a pas été renouvelée par l’ANSM fin 2018… Alors que les médecins Suisses ou Allemands continuent à le prescrire sans problème.
Est-ce une offensive contre un remède alternatif naturel ? Personne ne pose la question.
En revanche, les journalistes s’empressent de nous raconter…
L’histoire triste et poignante d’une « victime » du gui
Dans cet article à charge contre le gui, le journaliste raconte une histoire poignante : Stéphanie ne supportant plus sa chimiothérapie refuse sa sixième et dernière séance. Un médecin lui prescrit alors des injections de gui fermenté. « Très vite, l’état de Stéphanie se dégrade […] et après des mois de souffrances, Stéphanie décède le 18 mars 2013 ».
Habilement, le journaliste insinue que c’est le gui qui a tué Stéphanie. La vérité, c’est qu’on n’en sait rien. Ce qu’on sait, c’est que si Stéphanie était décédée suite à sa 6ème chimio, ça n’aurait pas fait la une des journaux.
Pire même, chez les patients qui enchaînent les cancers, les médecins admettent ouvertement que le nouveau cancer soit provoqué par les précédentes séances de chimiothérapie. Je connais d’autant mieux le sujet que c’est ce qui arrive à une femme de mon entourage.
C’est ça le vrai scandale !
Mais les journalistes préfèrent manipuler l’opinion de façon sournoise pour jeter l’opprobre sur les remèdes naturels.
Ils préfèrent discréditer le gui fermenté en expliquant qu’il s’agit d’un « remède anthroposophique ». Alors, certes Rudolf Steiner a donné une explication ésotérique à l’efficacité du gui.
Mais entre nous, l’Humanité n’a pas attendu Rudolf Steiner (1861-1925), ni son Anthroposophie, pour s’intéresser aux vertus du gui.
Ce n’est pas parce que Kim Jong-Un a une théorie fumeuse sur le thé vert, qu’il faut nous interdire d’en boire !
Lorsqu’un malade se tourne vers les remèdes alternatifs, c’est généralement que la médecine conventionnelle ne peut plus rien pour lui (avec ou sans Steiner). De là, il est facile de remettre en cause les remèdes naturels en pointant du doigt un échec pour un cas désespéré.
Oui aux injections de gui fermenté
Oui à la liberté de traitement !
De très nombreuses personnes sont soulagées par ces injections de gui. Pourquoi les en priver ?
D’autant plus que :
- Le gui fermenté n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Donc, ça ne coûte rienà la communauté.
- Aucune étude ne démontre qu’il est dangereux, même en association avec une chimiothérapie – la dernière étude allant dans ce sens, date de 2018[1]
Cette attaque s’inscrit dans une démarche plus générale d’offensive contre les médecines naturelles.
Aujourd’hui, ils pilonnent le gui.
Demain, ils s’attaqueront à la curcumine.
Si nous ne réagissons pas, l’étau va continuer de se resserrer.
Nous ne pouvons pas laisser faire cette censure. Pour le bien des patients, nous devons rester ouverts aux traitements alternatifs.
Notre compréhension du monde, des maladies et de la guérison est si limitée… Il faut être obscurantiste pour censurer le gui fermenté parce que son action est mal comprise.
Si, depuis des siècles, le gui fait du bien aux malades, pourquoi vouloir le censurer ?
Être scientifique, c’est accepter que certaines choses nous échappent… et accepter de voir ses théories remises en cause. C’est l’inverse du dogmatisme.
Non aux tentatives de censurer les remèdes alternatifs !
Oui à la liberté de traitement !
Rendez-nous le gui fermenté !
Merci de faire circuler ce message le plus largement possible.
Bien à vous,
[1]https://www.sciencesetavenir.fr/sante/weleda-un-medicament-anti-cancer-vendu-sans-autorisation_133575?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Vwncy6L882OW9J9yLzRMkRTfbATxrtamL3sV2gK5FOt-PQhmglSTYLXw#Echobox=1557864238
[2] Sunjic SB, Gasparovic AC, Vukovic T, Weiss T, Weiss ES, Soldo I, Djakovic N, Zarkovic T, Zarkovic N. Adjuvant Cancer Biotherapy by Viscum Album Extract Isorel: Overview of Evidence Based Medicine Findings. Coll Antropol. 2015 Sep;39(3):701-8.
[3] Pelzer F1, Tröger W, Nat DR2. Complementary Treatment with Mistletoe Extracts During Chemotherapy: Safety, Neutropenia, Fever, and Quality of Life Assessed in a Randomized Study. J Altern Complement Med. 2018 Sep/Oct;24(9-10):954-961. doi: 10.1089/acm.2018.0159.
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