Plus de 30% des restaurants servent des plats industriels sans le préciser¹. Nous payons jusqu'à 10 fois le prix un plat présenté comme "fait maison", alors qu'il repose sur des bases industrielles.².

En France, la mention "fait maison" a une énorme faille : Un restaurateur peut utiliser des produits industriels pré-transformés (pâtes à tarte, sauces, viandes précuites...) et quand même afficher "fait maison", tant que le plat est "assemblé" sur place³.

Pendant que la France ferme les yeux, l’Italie a déjà pris des mesures. Depuis 2017, les restaurants italiens doivent obligatoirement indiquer si un plat a été préparé sur place ou s’il provient de l’industrie agroalimentaire³.

Pourquoi n’en faisons-nous pas autant ?

Car défendre le fait maison, c’est aussi :

Protéger l’identité de notre gastronomie française.

Soutenir les restaurateurs honnêtes, ceux qui cuisinent réellement.

Il est urgent d’agir ! Exigeons un plan pour sauver le fait maison et imposons la transparence dans nos assiettes !

1. Des plats industriels servis au prix du fait maison : c'est malheureusement légal !

Chaque jour, des millions de consommateurs pensent manger un plat préparé par un chef, alors qu'il s'agit de produits pré-préparés simplement assemblés sur place et présentés comme fait maison :

• Une quiche 'maison' vendue 12€, alors que sa pâte et sa garniture proviennent de bases industrielles préfabriquées..
• Un steak-frites facturé 18 €, alors que la viande a été précuite en usine et que les frites proviennent d’un sachet industriel.
• Un risotto "authentique" à 22 €, préparé en quelques minutes avec une base industrielle à 3 €.

Nous payons bien plus cher pour des plats reposant sur des bases industrielles. Alors pourquoi la réglementation française permet-elle encore un tel flou sur l’origine des plats ?

2. Un manque de transparence qui pourrait aussi impacter notre santé

En plus de faire payer aux consommateurs un prix excessif, ce phénomène pourrait aussi affecter aussi notre santé.

• Les plats industriels ont potentiellement plus d’additifs, de conservateurs et d’exhausteurs de goût⁴.
• Ils contiennent plus de sel, de sucre et de graisses cachées, augmentant les risques de maladies cardiovasculaires⁵.
• Une étude de l’Inserm montre que la consommation d’aliments ultra-transformés augmente de 20% le risque de cancer⁶.

En croyant manger un repas équilibré, nous consommons en réalité des produits standardisés, bourrés d’additifs et d’ingrédients de mauvaise qualité. Alors pourquoi devrions-nous payer plus cher pour des plats moins bons et potentiellement dangereux pour la santé ?

3. L’Italie montre l’exemple : pourquoi pas nous ?

Depuis 2017, une loi italienne impose aux restaurants d’afficher clairement si un plat est cuisiné sur place ou provient d’un fournisseur industriel³.

En France, rien de tel :

• La mention "fait maison" est facultative et floue : un plat peut être affiché comme tel même s’il contient des produits industriels⁷.
• Les contrôles sont rares et les sanctions quasi inexistantes.

Pourquoi les consommateurs français n’auraient-ils pas droit à la même transparence ?

4. Défendre le fait maison, c’est protéger notre gastronomie française

La cuisine française est reconnue dans le monde entier pour son savoir-faire, ses produits frais et ses traditions culinaires⁸.

Mais cette fraude met en péril notre gastronomie ! Si nous laissons les plats industriels envahir nos restaurants, nous perdrons ce qui fait la richesse de notre cuisine.

De grands chefs et artisans alertent déjà : si nous n’agissons pas, nous risquons de voir disparaître les vraies brasseries et bistrots traditionnels, remplacés par des enseignes qui servent du prêt-à-manger industriel.

Sauvons l’identité culinaire de la France et défendons une cuisine authentique !

5. Soutenons les restaurateurs honnêtes !

Aujourd’hui, de nombreux restaurateurs jouent le jeu et cuisinent vraiment sur place. Mais comment peuvent-ils survivre face à des concurrents qui servent des préparations industrielles, avec une rentabilité bien plus forte ?

Les vrais restaurateurs :

✅Travaillent avec des produits frais, de qualité.

✅Engagent des cuisiniers compétents, au lieu de simples "assembleurs" de plats préparés.

✅Ont des coûts plus élevés, mais offrent une transparence totale sur l'origine de leurs plats.

S’ils ne sont pas protégés, ils finiront par disparaître !

6. Nous demandons un plan pour sauver le fait maison !

Nous exigeons des mesures concrètes pour rétablir la confiance et protéger les consommateurs :

• Une obligation d’affichage claire : chaque plat servi doit mentionner s’il est vraiment fait sur place ou industriel.
• L’interdiction d’utiliser le terme "fait maison" pour des plats contenant des ingrédients industriels.
• Un label officiel "100% fait maison", avec des critères stricts pour distinguer les vrais restaurants artisanaux.
• Un soutien aux restaurateurs qui cuisinent réellement sur place, pour encourager une cuisine de qualité.

Ne nous laissons plus berner ! Exigeons de la transparence et défendons le vrai fait maison !