Vous voyez ce cheval ?

Il mange tranquillement dans cette jolie prairie, libre, profitant du soleil...

Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il va sûrement se retrouver, vivant : 

… à bord d’un avion 

… pour un vol de 12h sans pause

… écrasé contre plusieurs chevaux

… incapable de bouger.

Tout ça pour qu'il soit transformé en sushi au Japon.

C'est inadmissible ! Nous devons mettre un terme à ces exportations, dès maintenant !

Des conditions de vol déplorables

La France envoie plus d’un millier de chevaux français en moyenne par an au Japon¹ ! 

Dans des conditions de voyage atroces !

Ils sont transportés par 4 dans des caisses en bois, faites pour un seul cheval, recouvertes d’un simple filet.

Ils ne peuvent ni se retourner, ni se coucher pendant ces 12 longues heures de vol.

Pour que vous vous rendiez compte, ils sont transportés comme les vaches ci-dessous.

C’est inhumain.

Ils n’ont pas non plus de séparateurs pour assurer leur stabilité dans ces caisses, doivent supporter les phases de décollage et d’atterrissage, le bruit du moteur, les variations de température et les turbulences en vol.

Conditions très stressantes pour ces chevaux, qui engendrent des conséquences néfastes sur leur système immunitaire, pouvant provoquer des maladies.

C’est totalement inadapté.

Aucune réglementation n’existe pour le transport des chevaux par voie aérienne. 

Par camion, ils ont le droit à une pause obligatoire toutes les 8h, mais en avion, rien.

Ils sont littéralement entassés comme des sardines, stressés, fatigués et angoissés.

Et c’est sans compter le traitement qu’ils ont à leur arrivée sur le territoire japonais.

Ils sont torturés pour être transformés en sushi

Ils sont engraissés pendant 6 mois à 1 an dans des fermes d’engraissements.

Très loin de nos beaux pâturages français. 

Et sont abattus pour finir en sushi.

C’est scandaleux.

En plus, le Japon n’a pas de standards de bien-être animal en terme d’abattage, la loi stipule simplement que la douleur doit être réduite au maximum².

C’est tout.

Il faut absolument mettre un terme à ces pratiques.

Nous n’avons pas le droit de faire souffrir ces animaux de la sorte !

Ce que nous demandons

Monsieur le Ministre, moi, ainsi que tous les signataires de la pétition, nous disons : 

- STOP à l’exportation de nos chevaux dans ces conditions

- STOP à l’engraissement de nos chevaux au Japon

- STOP à la consommation de viande de cheval engraissée dans ces fermes

Ce que nous voulons, c’est que : 

• L’exportation des animaux vivants soit correctement réglementée, en prenant en compte le bien-être de l’animal, à savoir : mettre de l’eau et de la nourriture à disposition, les transporter dans des caisses individuelles assez grandes pour qu’ils puissent se coucher et bouger, faire au moins une escale à la moitié du trajet ;
• Les autorités fassent plus de vérifications des conditions de détention de ces chevaux ;
• Les gouvernements français et japonais rédigent une loi stipulant l’interdiction de ces exportations qui n’ont aucun sens.

C’est en signant cette pétition que nous pourrons faire entendre nos voix.

Agissons dès maintenant !

Sauvons ces chevaux d’une vie misérable !