Charte des députés et citoyens contre les pass et obligations sanitaires.
Signez tout de suite, pour votre avenir et celui des enfants !!!!!
Pourquoi garantir à chaque citoyen le libre choix de ses traitements médicaux ?
Le droit à disposer de soi même est un principe fondamental en terme de droits de l'homme et du citoyen. Il s'inscrit dans les valeurs humanistes fondatrices de la République Française.
Très important !!! Le choix des uns de ne pas subir certains traitements n’empêche en aucune façon ceux qui souhaitent en disposer de pouvoir le faire !!! Le refus des uns n'est pas attentatoire à l'accès des autres.
Être pour la liberté de traitement, ce n'est pas être contre le traitement, cela permet juste au citoyen de faire valoir son droit.
La République, c'est d'abord des droits avant les devoirs !!!
( sans cela, on aurait rédigé une "déclaration des DEVOIRS de l'homme", et non des DROITS. )
La République est un contrat/une convention entre citoyens qui se reconnaissent mutuellement des droits. Être humaniste, c'est être pour l'émancipation des personnes, et pour le droit des personnes à disposer d'elles mêmes.
C'est une question philosophique de principe.
Attention à la manipulation qui consiste à dire que si 90% de la population fait une chose, cette chose est presque devenue obligatoire, ce n'est pas le cas :
Être pour la science et les traitements médicaux, et pour le droit d'accès de tous les citoyens à ces traitements médicaux, ne veut pas dire être pour l'obligation de ces traitements.
De la même façon que :
- Être pour le droit de travailler, ne veut pas dire être pour l'esclavage.
- Être pour le droit de croire, ne veut pas dire être pour la religion d'état obligatoire.
- Être pour le droit à la contraception, ne veut pas dire être pour la stérilisation ou l'avortement forcé.
- En démocratie, le fait d’appartenir à un groupe ou une position majoritaire dans la société, n'interdit pas aux minorités d'exister, et ne les oblige pas à se conformer au groupe majoritaire.
Le serment d’Hippocrate et la déontologie médicale interdisent d'imposer un traitement sans obtenir le consentement éclairé du patient.
L'intolérance au débat, à la diversité, au libre choix est un acte d'autoritarisme arbitraire qui n'a pas sa place dans une République démocratique.
En terme de crédibilité et d'efficacité, c'est injustifié !
Les citoyens n'exercent pas le pouvoir mais ils ont de la mémoire.
De nombreux éléments mettent en doute la crédibilité de l'action publique face à la crise en terme d’intérêt général.
- Les nombreux revirements, les masques inutiles quand on en n'a pas puis obligatoires quand on en a.
- L'efficacité soit-disant de 95% avec 2 doses, sensées empêcher de contracter et de transmettre la maladie.
- Puis le constat que ce n'était pas le cas.
- Le constat sur la dernière vague que la transmission, n'est toujours pas freinée malgré 3 doses, pas plus que la contamination.
- Le persévérance dans une stratégie qui ne porte pas ses fruits avec le début des 4°doses.
- Le discours du 12 juillet 2021 sur le Pass visant à provoquer la sidération et non la raison.
- Les mensonges, manipulations et injonctions à l'obéissance. (confinement/ attestations/ couvre feu / fermeture de lieux et entreprises)
- Les préjudices financiers, moraux, sociaux, psychologiques et démocratiques qui en découlent.
- Les variants peu dangereux remettant en cause l'utilité de mesures pouvant se justifier avec les souches initiales.
- Le fait que la stratégie est organisée par le cabinet McKinsey qui a des liens d'intérêts avec le Prédisent de la République, son parti et ses proches ainsi qu'avec l'entreprise Pfizer. Posant de grosses questions sur la neutralité de la décision publique et son inscription dans une logique d'intérêt général.
- Le fait que si on veut sauver des vies, on commencerait par donner des moyens à l’hôpital, alors que le gouvernement supprime des lits et suspend des soignants en pleine pandémie.
- Le fait qu'on suspend des soignants sans pass mais testés négatif, en laissant des soignants avec pass testés positifs au contact des malades.
- Les closes abusives des contrats entre l'état et les laboratoires.
- Le manque de neutralité du traitement médiatique des événements en periode électorale, dans un contexte où les médias sont soit publics, soit possédés par des oligarques proches du pouvoir.
- Le fait que le président assume publiquement que sa politique ait pour but "d'emmerder" les français.
- Le fait que les effets secondaires sont non-remontés/non-pris au sérieux, ou trop peu par rapport au nombre de cas (myocardites, choc allergique, décès, problèmes de cycle menstruel, aménorrhées, hémorragies, endométrioses, douleurs imposant l'hystérectomie, stérilité ... )
- Le fait qu'il est impossible de freiner la propagation avec un produit qui n’empêche pas la transmission, et que par conséquent cela ne peut pas protéger "les autres".
- Le fait que le rapport bénéfice/risque ne peut être bénéfique que pour ceux qui ont un risque. à savoir les personnes fragiles ou âgées.
- Le fait que le principe de précaution n'ait pas été appliqué pour la santé de moyen long terme et la santé reproductive des populations jeunes adultes / ados / enfants, qui par ailleurs ne sont pas à risque avec la maladie.
- Le fait qu'il est douteux après tout ça de vouloir imposer à tout prix une atteinte sur le corps de la totalité des citoyens. Dans quel but, si manifestement sur le plan sanitaire, c'est inefficace ?
- ...
Tous ces éléments rendent toute forme de coercition légale ou déguisée d'autant plus inacceptable.
Assurons la fin définitive de l'autoritarisme et de l'extrémisme sanitaire !
- Citoyens, signez cette pétition et/ou transmettez-la aux candidats de votre circonscription. (et à vos proches et sur les réseaux)
- Députés/candidats, signez cette pétition, affichez publiquement votre signature, et ajoutez ce visuel sur vos réseaux, sites et affiches pour que les électeurs puissent vous identifier et se mobiliser pour vous.
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